Connaissez-vous bien les périls qui pèsent sur la biodiversité ?
Destruction de la forêt amazonienne, espèces menacées, fonte des glaces terrestres… savez-vous bien où nous en sommes en ce qui concerne la biodiversité ? Testez vos connaissances avec ce quizz France Inter.
Pour accéder au quizz et tester ses connaissances, rendez-vous ici.
Atelier découverte 2h30: co-construire la transition digitale écologique.
Ce vendredi 19 mars 2021, Tristan Duhamel et Renaud Héluin, respectivement des agences Déclic Ecologique et NovaGaïa, ont réuni une dizaine de personnes soucieuses de leur impact numérique.
Pendant 2h30, nous avons cherché des solutions concrètes pour réduire notre impact numérique, que ce soit dans la sphère privée ou professionnelle.
Cet atelier se déroule en 2 temps.
Le temps 1 est dédié à la sensibilisation sur le matériel : sa fabrication et leur utilisation. Les données chiffrées permettent de prendre conscience de l’impact du numérique sur l’environnement.
Le temps 2 est un moment d’intelligence collective pour trouver des solutions concrètes. Les solutions abordent l’impact du matériel, notamment en fin de vie, nos moyens d’action sur le système, la réduction de l’utilisation du numérique, la définition d’un service numérique sobre.
Quelques chiffres de sensibilisation :
34 milliards d’objets connectés en 2020. Le numérique génère 2x + de Gaz à Effet de Serre que l’aviation civile.
Le cycle de vie du matériel numérique : La fabrication représente 65-70% de l’impact global environnemental, l’utilisation 10-15%, la fin de vie 15-20%.
La quantité de matière première nécessaire à la fabrication d’un ordinateur est de 1 à 3 tonnes (soit 200kg de Gaz à Effet de Serre) ou un smartphone est de 200 kg (soit 80kg de Gaz à Effet de Serre).
L’alimentation électrique de l’internet mondial nécessite à lui seul l’équivalent de 100 réacteurs nucléaires
En moyenne, un français produit 21,5kg de DEEE (déchets d’équipements électriques et électroniques) par an, soit + que la moyenne européenne de 16kg.
Les outils de questionnement pour plus de sobriété numérique : la méthode BISOU & des 5 R.
La méthode BISOU. L’acronyme, où chaque lettre correspond à une question à se poser avant l’achat d’un objet, en entreprise ou à la maison.
B comme Besoin -> En ai-je vraiment besoin ?
I comme Immédiat -> Est-ce que j’en ai besoin tout de suite ?
S comme semblable -> N’ai-je pas déjà le même produit ?
O comme origine -> D’où vient-il ? Puis-je le trouver localement ?
U comme Utile -> Est-ce vraiment utile ?
La méthode des 5R qui consiste à appliquer dans votre parcours consommateur chacun des verbes en R, dans cet ordre précis, que sont :
Refuser ; Réduire ; Réutiliser ; Recycler ; Retour à la terre.
La notion de recyclage, fondamentale, n’intervient qu’en quatrième position car cela demande une grosse logistique et industrie énergivore.
La seconde partie de l’atelier est fondée sur les principes d’intelligence collective.
C’est à dire lister collectivement la liste des bonnes pratiques pour un usage du numérique éco-responsable.
Pendant 1 heure, les participants sont invités à rejoindre une session miro qui permet à chaque participant d’écrire sur un post-it les bonnes idées. A 10 personnes, nous avons émis 67 solutions !
Nous terminons l’atelier par un débriefing collectif et une synthèse des organisateurs. Les principales idées ont été regroupées en différent thèmes. Parmi les plus significatifs, nous pouvons citer :
Ecoconcevoir le numérique, ce qui passe par l’analyse du cycle de vie (notamment la réparabilité du produit), et intégrer les principes d’économie de la fonctionnalité (louer un produit plutôt que de le posséder).
Faire durer le matériel : l’entretenir, le réparer, acheter d’occasion ou reconditionné.
Prendre conscience : sensibiliser autrui, limiter l’usage intempestif de la vidéo, adopter la sobriété numérique.
Agir sur l’énergie : choisir un hébergement vertueux (datacenter écologiques, ou encore mieux privilégier les disque dur externes) et limiter sa consommation électrique.
Comment participer à l’atelier ?
Renaud et Tristan organisent cet atelier pour vos équipes sur demande. L’effectif doit être compris entre 8 et 25 participants. L’atelier se déroule en visioconférence.
Pour organiser cet atelier en interne, n’hésitez pas à contacter les organisateurs via leur Linkedin.
Elle nous rend des services incommensurables. Par exemple, 75% des espèces végétales ont besoin d’être pollinisées, un service rendu gratuitement par la nature estimé à plus de 153 milliards d’euro par an ! (Chiffres CNRS, INRA).
En cette période de pandémie qui nous affecte tou.t.es, le retard de la prise en compte de la biodiversité dans les politiques nationales et internationales et dans les stratégies des entreprises devient criant. Une lacune responsable de nombreux problèmes de santé publique.
Car les chiffres sont éloquents : d’un côté, 60% des maladies infectieuses sont zoonotiques* (Chiffres OIE), de l’autre, 40% des 60 000 plantes et champignons utilisées pour leur valeur médicinales sont menacées d’extinction (Chiffres de la chaine publique Allemande Deutsche Welle).
*zoonose: maladies ou infections qui se transmettent des animaux vertébrés à l’homme, et vice versa. Les pathogènes en cause peuvent être des bactéries, des virus ou des parasites.
L’enjeu n’est pas nouveau : dès 2000, le concept One Health fait son apparition sur la scène internationale. Cette approche interdisciplinaire permet de raisonner l’ensemble du système et trouver des solutions qui répondent à la fois à des enjeux de santé et des enjeux environnementaux.
“Une seule santé, pour la Terre, les animaux et les Hommes” – INRAE
Cette approche est aujourd’hui propulsée par le contexte de la crise Covid19, doublée de la prise de conscience grandissante de la dépendance des entreprises aux services fournis par la nature.
Elle appelle un cadre opérationnel pour traduire la prise en compte de la biodiversité dans les stratégies des organisations et de l’impact de leurs activités sur le monde du vivant.
Si en novembre 2020 nous vous informions des risques d’écocide pour une entreprise, il s’agit maintenant d’accompagner les bonnes pratiques pour la biodiversité. D’où un véritable besoin de visibilité sur les outils et les indicateurs disponibles et d’intégration de méthodes pour construire ses engagements.
Le label Biodiversity Progress couvre ainsi une lacune sur l’absence d’un référentiel solide pour les entreprises, en complémentarité avec les outils déjà existants, notamment le Global Biodiversity Score proposé par la CDC Biodiversité.
Un évènement biodiversité adapté au monde des entreprises et institutionnels.
Le 16 mars 2021, votre agence conseil Parangone vous propose, en partenariat avec le Label Lucie, un programme de formation dédié à la biodiversité en entreprise.
Vous serez en mesure de réaliser votre auto-diagnostic et de définir un plan d’action opérationnel en suivant le référentiel “Biodiversity Progress” du label Lucie.
Quand ? Session 1 le 16 Mars 2021, de 9h30 à 17h30
Comment ? En visio-conférence.
Le coût ? 595 € H.T par participant.
La formation Biodiversity Progress est éligible à financement au travers du plan de formation de l’entreprise par son OPCO, ainsi que par les fonds de formation des Travailleurs Non Salariés, et également sur devis spécifique pour les demandeurs d’emploi. Elle est aussi éligible dans le cadre du FNE pour les entreprises effectuant du chômage partiel, les taux de financement y sont améliorés bien souvent. Dans tous les cas ces financements sont soumis à conditions.
Méthodes pédagogiques
Interactivité avec les participants (selon les méthodes d’intelligence collective)
Toute l’équipe de parangone vous souhaite une excellente année porteuse de projets durables et solidaires
2021 marque un cap dans l’histoire de la responsabilité sociétale des organisations. À la première vague des grandes entreprises pionnières, succède celle de nombreuses PME et ETI. Pour elles, la crise est dans beaucoup de cas un élément déclencheur de la décision de s’appuyer sur l’engagement sociétal pour redéfinir leur business modèle et fédérer leurs parties prenantes autour d’un projet de transformation enthousiasmant.
Notre mission ? Accompagner pour révéler les potentiels d’engagement sociétal, créer les convergences pour agir concrètement, et faire rayonner votre stratégie de responsabilité sociétal.
Parangone c’est aujourd’hui une équipe de 8 talents et un riche écosystème de partenaires, porteurs de solutions, créatifs et institutionnels.
Souhaitons nous une année de synergie et d’action.
La Belle Ville, un film-documentaire qui pousse à l’action.
Ce film-documentaire est porté par l’association Dao Production. Elle a pour but de sensibiliser et inspirer tous les acteurs de la transition écologique à travers la production, la réalisation et la diffusion de vidéos et de films accessibles a tous.
Partenariat
L’équipe de parangone est très heureuse de soutenir l’initiative et se fera le relai des étapes clés de leur parcours.
Rendez-vous dans un an pour restituer leur aventure !
Quels seront les thèmes décryptés ?
François Marques et Manon Turina vont directement aller à la rencontrer de communautés, villages et agglomérations qui portent des initiatives innovantes pour comprendre leur vision et leur méthode. Ils vont aborder la transition des villes de manière globale mais surtout:
Ce film documentaire-voyage palpitant a pour but de rencontrer, sur tous les continents, ces personnes aux initiatives révolutionnaires qui reconnectent nos villes avec la nature. Une fois ce lien créé, l’association souhaite impliquer ses spectateurs et vous inviter au passage à l’action.
Pour se faire, les deux réalisateurs ont prévu d’organiser des ciné-échanges. Ils prendront à leur charge la réalisation de fiches techniques sur chaque initiative afin d’inspirer un maximum les spectateurs et fluidifier la transmission d’information. Toutes leur découvertes seront partagées sur leur réseaux sociaux.
Agenda
Le début du tournage est prévu pour mars 2021. Avant cela, l’association organise une campagne de crowfunding.
Ils ont besoin de 10 000 € ! Association loi 1901, vous ne payez que 40% du montant de vos dons. Ils ont déjà récolté + de 4 800 € au 04/01/2021. Faites un geste pour votre ville.
Après 6 mois de tournage annoncés, le film sortira fin 2021.
Le rendez-vous incontournable pour les acteurs européens du transport fluvial et de la logistique multimodale.
Organisé chaque année par VNF, Riverdating, événement professionnel dédié à la logistique fluviale s’adresse en priorité aux professionnels du transport de marchandises (chargeurs, commissionnaires de transports, gestionnaires de ports, d’infrastructures et collectivités locales), qui souhaitent accroitre la performance et la compétitivité de leur chaîne de transport en utilisant la voie fluviale. Pour cette édition 100% digitale, Parangone a conçu et animé 4 web conférences depuis notre plateau Studio41, le 2 décembre dernier.
Temps de visionnage: 3h15
Riverdating s’adresse à tous ceux qui souhaitent développer leur réseau de clients, de fournisseurs et de partenaires autour de projets concrets et clairement identifiés. Basé sur le principe du « dating », cet événement permet aux chargeurs de programmer selon leurs besoins logistiques (filières, région…) des rendez-vous d’affaires individuels et ciblés avec les acteurs majeurs de la logistique fluviale. Ces échanges permettent chaque année de contractualiser le transport de 1 à 1,5 million de tonnes de marchandises, soit l’équivalent de 50 à 75 000 camions en moins sur les routes.
En 2019, environ 500 professionnels ont participé à Riverdating, générant plus de 3 000 rendez-vous d’affaires et la dynamique ne s’est pas inversée pour cette édition entièrement digitalisée.
En parallèle des rendez-vous business, 600 participants connectés ont pu assister aux tables rondes animées par Vanessa Logerais, pour découvrir les derniers sujets d’actualités liés au développement de la filière :
Table ronde 1 – Plan de relance et investissements pour le fluvial : quels bénéfices pour les chargeurs et industriels ?
Table ronde 2 – Une convention nationale inédite VNF-SNCF réseau pour accélérer le report modal et développer les flux multimodaux autour de la coopération Rail/Fleuve
Table-ronde 3 – Comment la digitalisation peut-elle encourager le report modal vers le fluvial ?
Table ronde 4 – Bayer, Adeo, Eco-Systèmes et EDF témoignent sur les démarches et les leviers pour basculer » leur logistique en fluvial ! « Transport Fluvial, mode d’emploi »
Commentaires récents