Si Internet était un pays, ce serait le 3 ème plus gros consommateur d’électricité.
Dans son rapport « La face cachée du numérique« (janvier 2021), l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) réaffirme que les émissions de CO2 liées à l’utilisation de l’informatique sont considérables (4% des émissions mondiales !), et que la forte augmentation des usages laisse présager un doublement de cette empreinte carbone d’ici 2025.
Alors quelles sont les bonnes pratiques à adopter ? La rédaction vous a sélectionné une liste de bonnes pratiques informatiques.
Conversations sobres : Mails et Visioconférence
#1 Triez vos mails et éliminer les spams sans tarder. Pensez également à vous désabonner des newsletter non désirées: un email stocké pendant 1 an génère 10g de Co2/an. Solution gratuite: https://www.cleanfox.io/
#2 Pour échanger des fichiers lourds en interne, utilisez les espaces de partage mis à disposition par votre entreprise. Pour partager des fichiers lourds à l’externe, utilisez les sites de dépôt temporaires.
#3 Créez des pièces jointes légères et bien conçues : fichiers compressés, PDF basse définition, documents optimisés (suppression des blancs, des images inutiles…) et faciles à lire sur ordinateur ou sur tablette, éditables par chapitre (votre correspondant pourra ainsi sélectionner ce qui lui est nécessaire). Pour compresser une image JPG ou PNG gratuitement: https://tinypng.com/ Pour compresser un fichier PDF: https://pdfcompressor.com
#4 Supprimez les pièces jointes des messages auxquels vous répondez.
#5 Eteignez votre Webcam. Pour une heure de communication via ZOOM ou un autre programme, ce sont entre 150 et 1000 grammes de CO2 (suivant la qualité de la vidéo) sont dégagés dans l’atmosphère, soit 9km parcourus en voiture. La transmission des images est à 96% responsable de ces émissions (étude Yale, Purdue, MIT)
#6 Ne multipliez pas les destinataires. Évitez l’usage systématique de la fonction «répondre à tous» si vous répondez à un envoi collectif.
Requêtes web : faire court et simple
#7 Visitez directement sur le site recherché, en utilisant l’historique de vos consultations, en créant des favoris dans votre navigateur pour les adresses que vous consultez régulièrement ou en tapant directement l’adresse URL d’un site lors d’une recherche. Une requête Google, c’est à peu près 7 grammes de CO2 émis dans l’atmosphère. En tapant l’URL du site directement dans la barre de recherche, on simplifie le parcours des opérations et on réduit le bilan carbone d’une recherche.
#8 Choisir un moteur de recherche éco-responsable. La plupart des moteurs de recherche vendent vos données aux publicitaires. Le moteur de recherche Ecosia finance à hauteur de 80% de ses profits des projets de reforestation. Les Français Liloet Ecoginereversent une partie de leurs recettes à des associations environnementales et sociales. Si selon vous un moteur de recherche ne doit pas exploiter vos données personnelles, utilisez Qwant.
#9 Fermez les onglets que vous n’utilisez pas, cela améliore la navigation. Un onglet ouvert se recharge plusieurs fois dans la journée. Chaque actualisation génère environ 7 grammes de Co2 dans la nature. L’extension Google Chrome OneTab permet de mettre en veille vos onglets inutilisés gratuitement.
#10 Bloquez lalecture automatique des vidéos sur votre navigateur comme sur les réseaux sociaux.
L’extension Google Chrome Bloqueur Vidéo est gratuite. Elle empêche toutes les vidéos sur le web de se jouer automatiquement, avec la possibilité d’inscrire des sites sur liste blanche.
Une montée en puissance de la prise en compte de la RSE au sein des organisations et dans leur communication.
Depuis ces dernières années, l’ensemble des acteurs de l’économie ont pris conscience de l’importance d’adopter un développement plus durable et responsable pour eux-même, ainsi que pour les générations qui feront l’économie de demain.
Cette volonté a fait grandir la prise en compte de la responsabilité sociale, environnementale et sociétale au sein des organisations, envers leurs parties prenantes et pour la continuité de leur développement économique.
Les revendications des consommateurs.trices de plus de transparence dans l’offre des entreprises (appuyées par la Loi Pacte et la Déclaration de Performance Extra Financière pour les entreprises du CAC40) ont produit un effet boule de neige qui incite de plus en plus d’organisations à agir positivement pour la société dans son ensemble. Par ailleurs, la crise sanitaire que nous traversons pousse la transformation de nos modèles de sociétés et d’économie. La société se dirige vers ce que prône la responsabilité sociétale, c’est-à-dire la pérennité de l’organisation, la prise en compte des attentes des parties prenantes et la sauvegarde de la planète.
Une arrivée en force des labels sur le marché.
Que ce soit par réel leadership sociétal ou par effet d’entrainement, les labels RSE se multiplient. Mais comment différencier en tant que partie prenante, les communications missionwashing des démarches structurées, intégrées à l’activité, bien pilotées et recherchant l’amélioration continue ?
C’est sur ce besoin que sont apparus les différents labels RSE depuis une dizaine d’années. Leur but est de faciliter l’amélioration continue, encadrer la démarche RSE et assurer une communication juste et claire pour les parties prenantes.
Aujourd’hui, dans cette profusion d’acteurs, les organisations sont noyées par les possibilités.
Voici donc 3 points essentiels pour guider les organisations dans leurs réflexions.
→ Identifier les labels solides et crédibles
L’effervescence du marché des labels RSE induit le risque d’en voir apparaitre certains qui manquent de cadre solide et de transparence. Pour vous aider à aller plus loin dans le choix raisonné d’un label, reportez vous à la mission d’évaluation, lancée par Bruno Le Maire et conduite par la député Coralie Dubost, Jean-Paul Chaperon PDG d’ASI et Fella Imalhayene, délégué générale du Global Compact France.
Cette mission donne lieu à un projet de charte visant à recenser un socle commun de critères essentiels, indispensables pour la reconnaissance d’un label. Les conclusions sont à retrouver sur le site de Global Compact France.
De même, le groupe de travail « Labels RSE » de la Plateforme RSE (mars 2020), rédige un diagnostic et des recommandations à propos de la labellisation RSE. La plateforme RSE pourrait d’ailleurs devenir à moyen terme la structure qui « labellise les labels » sur la base de la charte mentionnée ci-dessus.
Ces travaux entrent dans le cadre de la loi PACTE sur les conditions de mise en place d’une structure de revue et d’évaluation des labels prévues à l’article 174.
L’argument qui créditera votre labellisation est le référentiel utilisé. Il définit les modalités d’évaluation et d’attribution du label. Il constitue une base pour juger du sérieux de la démarche. S’il est audité par un Tier Indépendant, c’est bon signe.
Nous avons mis en lumière trois labels RSE (BCorp, EngageRSE et Lucie) reconnus sur le marché via un module de formation vidéo (gratuit, 80 minutes) qui détaille en toute transparence la crédibilité et la robustesse de chacun des labels présentés.
→ Identifier ses besoins
Chaque entreprise ou organisation a des besoins et des aspirations différentes.
Dois-je faire labelliser ma démarche RSE ou commencer par un de ses produits ? Choisir un label universel ou spécifique à mon activité ? Choisir un label qui s’adresse à tous ou qui s’adapte aux spécificités de mon secteur ? Choisir un label local, national ou international ?
Il est possible de distinguer plusieurs catégories de labels RSE.
Les labels « généraux » français. Ils se fondent sur la norme ISO 26000 et sont adressés à toutes les entreprises, quel que soit le secteur d’activité. C’est le cas du label LUCIE ou le label Engagé RSE. Quant au label PME+, délivré par la Fédération des entreprises et entrepreneurs de France (FEEF), il utilise le même référentiel ISO 26 000 mais se différencie de par sa cible PME.
Les labels RSE « généraux » internationaux. C’est le cas de BCorp, mais aussi de la certification Attestation For Life pour la Responsabilité Sociétale, délivrée par le groupe ECOCERT.
Il y a d’autre part d’autres types de labels RSE :
les Labels RSE sectoriels ;
les labels RSE territoriaux ;
les labels thématiques c‘est-à-dire que l’évaluation porte sur un point précis de la démarche RSE (thème de l’égalité et la diversité sociale par exemple ou de la biodiversité)
C’est pourquoi une sérieuse concertation en interne est nécessaire pour identifier ses besoins à moyens et long terme. C’est l’opportunité de consulter ses parties prenantes et d’inclure son écosystème de partenaires à la réflexion.
→ Identifier le label ou les labels pertinents et adaptés à mon activité et besoins
Quel(s) label(s) correspond le plus à l’identité de l’organisation ?
Il faut bien faire attention, lorsque l’on investit son temps et son argent pour sa démarche RSE, à bien choisir le label ou la certification crédible, qui a l’expérience de votre secteur d’activité, en plus d’être adapté à votre structure. Il faut à tout prix s’affranchir de lavision court termiste du greenwashing et prendre le temps de se poser les bonnes questions. Il ne faut pas céder face à la facilité car l’obtention du label n’est pas une fin en soi mais un moyen de réaffirmer son business sur le long terme.
Certaines organisations portent leur choix sur plusieurs labels et leviers d’action pour développer leur démarche RSE, comme par exemple un label thématique, la signature du Pacte Mondial, le statut de l’entreprise à mission. En effet, la complémentarité des labels et des outils mérite bien souvent d’en intégrer plusieurs à sa stratégie de différenciation.
Notre module de formation gratuit en 80 minutes“Labels RSE : faire le bon choix” vous aide à déchiffrer les référentiels reconnus, les labels RSE les plus connus sur le marché et leur complémentarité avec d’autres outils.
Dans un environnement qui évolue très vite, il faut pouvoir réagir rapidement tout en prenant le temps d’engager le changement sans oublier personne. Il est donc important de pouvoir se reposer sur des référentiels bien établis et des acteurs matures sur ces sujets.
Pour vous aider à faire les meilleurs choix possibles pour votre structure, n’hésitez pas à contacter l’Agence Parangone. Nous vous aiderons à valider votre choix de label, d’organisme certificateur et à définir le plan d’action qui soutiendra l’obtention réussi de votre label.
Parce que changer le monde passe par vous !
Flora Grand
Pour nous consulter: contactez nous, amelie.foulon@parangone.org
Pour intégrer notre écosystème d’experts reconnus: contactez nous, vanessa.logerais@parangone.org
La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), c’est la démarche d’une entreprise qui souhaite avoir un impact positif sur la société: social et environnemental. Vouloir s’améliorer, mieux faire en toutes circonstances, en s’appuyant sur les piliers du développement durable et les normes internationales.
Temps de lecture: 3 minutes
Rendre son entreprise plus attractive
Attirer et motiver les talents:
D’après l’étude de l’EDHEC (4e école de commerce française, LeFigaro 2021) auprès de ses futurs diplômés « NewGen for good : comment la nouvelle génération va transformer l’entreprise ?», 46% d’entre eux jugent que le développement durable et la RSE s’agit d’une valeur incontournable dans le choix de leur future entreprise ; ce critère se hisse au second rang pour les étudiants.
Obtenir la confiance de ses parties prenantes:
Dialoguer avec ses parties prenantes permet de mieux comprendre leurs attentes. Du dialogue naît la confiance, et donc une meilleure relation client-fournisseur qui ouvre la porte à de nouvelles perspectives d’affaires pérennes ;
L’ORSE révèle que les entreprises du CAC40 sont de plus en plus nombreuses (85%) à évaluer la performance RSE de leurs fournisseurs dans le cadre de leur politique d’achat responsable (audits et questionnaires).
Répondre aux attentes des consommateurs:
Pour 67,6% des consommateurs, le fait qu’une marque propose des produits durables renforce leur confiance en elle (étude GreenFlex, 2017). Les marques ont donc tout intérêt à développer une offre plus responsable qui s’inscrit dans une logique de différenciation (importance des labels, voire la formation dédiée) qui vous donne un accès privilégié à certains marchés où les consommateurs sont prêt à payer plus cher.
Avoir un meilleur accès à des financements:
Les investisseurs intègrent désormais des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) dans leur choix de placement. Un fonds d’Investissement Socialement Responsables (ISR), est un produit financier qui intègre des critères ESG). Il s’agit d’un marché très porteur avec une croissance à deux chiffres entre 2017 et 2018 (+11%). Les PME sont bien sûr concernés par l’ISR.
« Ces dernières années, nous assistons et nous prenons part à une accélération dans la prise en compte des enjeux ESG de la part des investisseurs. Ils ont notamment des attentes de quantification des impacts et un degré d’exigence qu’ils n’avaient pas avant » – Inès de Dinechin, comité stratégique de Trees-Everywhere (projets clé en main de reforestation pour la captation carbone des grandes entreprises et ETI). Source: Investir Durable #5, Mai-Juin 2020.
…et mieux utiliser ses ressources…
Partager un projet d’entreprise qui permet à chacun de s’épanouir:
Être à l’écoute de ses équipes, c’est chercher à stimuler la capacité créative des hommes et des femmes. Les entreprises qui adoptent des normes environnementales ont des employés en moyenne 21% plus productifs (Delmas, Pekovic, 2013).
« Agir en faveur de l’environnement permet d’améliorer la productivité de ses salariés. L’effet de plus haute productivité provient de l’appréciation des employés pour leur environnement de travail » – Pekovic
Faire des économies:
En mesurant et en analysant les consommations d’eau et d’énergie de votre entreprise ainsi que la gestion des déchets et du recyclage, vous identifiez des postes de dépenses évitables. Dès lors, vous réalisez des économies chaque année.
… pour une entreprise durable !
Assurer la pérennité de son entreprise…
La RSE permet d’anticiper bon nombre de menaces qui peuvent fragiliser l’organisation jusqu’au risque ultime, la cessation d’activité. En cette période de crise sanitaire qui n’épargne aucun secteur, aucun pays, beaucoup de réponses se trouvent dans le dialogue social et dans la discussion avec l’ensemble de leurs parties prenantes pour prendre en compte l’impact de vos activités réciproques.
Et améliorer sa compétitivité.
L’analyse de France Stratégie porte sur un échantillon de 8 502 entreprises (TPE, PME, grandes entreprises) et étudie la relation entre stratégie RSE* et compétitivité**.
Les entreprises qui mènent une politique RSE sont plus compétitives (+13% en moyenne). Si l’on prend chacune des dimensions individuellement, la compétitivité est améliorée de:
5 % pour l’élévation de la relation client-fournisseur,
8 % pour la certification environnementale,
9 % pour une meilleure considération des ressources humaines,
20 % pour la dimension sociale.
*Selon quatre dimensions: ressources humaines, dimension environnementale et éthique, relation avec les clients et relation avec les fournisseurs.
**Selon trois données: profit, valeur ajoutée et excédent brut d’exploitation.
Si cet article vous donne une visibilité sur les gains directs pour votre entreprise, n’oublions pas que la RSE a pour finalité l’attention portée à la société dans son ensemble dans l’objectif de lui être utile. L’entreprise du XXIème siècle est celle qui agit concrètement pour transformer les Business Model pour une société plus juste, plus résiliente et inclusive.
Le télétravail renvoie à une approche novatrice de l’organisation du travail. C’est la possibilité pour un collaborateur de travailler en dehors des infrastructures habituelles de son entreprise, depuis son domicile, dans des espaces dédiés ou même dans la cabane au fond du jardin.
En 2012, 12,4% des salariés en France bénéficiaient déjà de cette possibilité. Une tendance qui s’est développée à marche forcée pendant le confinement (huit entreprises sur dix l’ont instauré durant le premier semestre 2020 – étude CPME) avant de revenir à un pourcentage de télétravailleurs en septembre 2020 de l’ordre d’un salarié sur 7 – soit 15% contre 27% en septembre dernier (sondage Odoxa-Adviso Partners pour France Info – octobre 2020).
Cette nouvelle manière de travailler a pourtant été plébiscitée pour le gain de temps et la réduction du stress qu’elle représente pour les salariés en période de pandémie. Et a fait la preuve de ses multiples bénéfices environnementaux.
Alors, socialement Responsable, le télétravail ? Parangone vous décrypte les effets du télétravail sur notre bien-être et pour l’environnement.
[MOBILITE] Une réduction des trajets pendulaires domicile – travail très bénéfique.
La réduction des trajets entre domicile et lieu de travail est l’effet le plus direct du développement du télétravail. Un jour par semaine de télétravail, c’est 20% de réduction d’émissions de CO2 sur le trajet domicile – quotidien.
Une voiture qui ne roule pas, c’est une voiture qui ne pollue pas.
On observe une réduction de la pollution atmosphérique et sonore dans les métropoles ainsi que la décongestion du trafic routier et des transports en commun.
Le télétravail a également pour effet la relocalisation des activités du quotidien autour du domicile (courses, activité sportive). C’est le développement d’une économie de meilleure proximité pour les activités des collaborateurs, plus respectueuse de l’environnement.
1 journée de télétravail généralisé permettrait d’économiser 3,2 milliards de litre d’essence par an (étude Consumer Electronic Association, 2002 Etats-Unis).
[ENERGIE] – Des effets rebonds favorables et défavorables.
Si l’on remarque un très fort effet du télétravail sur l’émission de CO2, il s’agit de la comparer à la consommation d’énergie électrique induite par le télétravail pour en tirer une approche globale.
Le télétravail entraine de nouvelles consommations énergétiques au domicile (le chauffage, l’éclairage). Il s’agit de comparer l’augmentation de la consommation d’énergie à son domicile avec sa diminution sur le lieu de travail. Au Royaume-Uni par exemple, l’impact est très lourd pour l’environnement car les chauffages consomment beaucoup d’énergie.
En effet, on observe une augmentation des flux énergétiques principalement liée aux visio-conférences. L’utilisation d’outils de visio-conférence est très gourmande en énergie et leur utilisation pendant le confinement a été multipliée par 20 (Etude de Greenspector, 2020). Selon cette même étude, une minute de visioconférence a une empreinte écologique carbone de 1g par minute et par participant. Ainsi, une réunion virtuelle de 10 personnes durant une heure et demi représente un impact de 900g, soit un trajet en voiture de 7,5 km.
Eviter les pièces jointes dans vos e-mails. Privilégiez les espaces de travail dédiés.
Utiliser la barre de favori pour accéder à un site. 2 recherches = ébullition d’une tasse d’eau (équivalent CO2).
Limiter l’usage du cloud. Supprimez ou stockez vos documents sur un disque dur externe.
Attention à l’accroissement de l’équipement numérique de vos équipes. Si vos collaborateurs vous expriment des demandes, pensez à l’occasion ou au reconditionné.
[SOCIAL] – Amélioration du bien-être
La suppression des temps de trajet est productrice de bien-être pour vos collaborateurs. Pour 60% d’entre eux, le télétravail permet de mieux gérer le stress et d’être plus concentré (étude ADEME, 2020).
Ne plus prendre le métro ou la voiture accorde un temps significatif à vos collaborateurs pour se reposer ce qui le rendra d’autant plus productif sur ses heures de travail.
Par ailleurs, travailler dans un environnement familier sans distraction est l’opportunité pour vos collaborateurs de se consacrer à des tâches compliquées ou de passer des coups de fil importants.
Attention tout de même aux risques psychosociaux que peut produire l’isolement induit par le télétravail. L’isolement au travail se définit de la façon suivante: « processus qui fragilise la relation au travail que l’on peut caractériser au travers de l’apparition et du développement de situations dans lesquelles un salarié éprouve des difficultés à avoir accès à une assistance, sous quelle que forme que ce soit ».
Lorsque cet isolement est choisi, il représente pour le collaborateur l’opportunité de développer ses capacités d’autonomie. Toutefois, lorsqu’il est subi par des contraintes externes, il peut générer un sentiment d’isolement nuisible au bien-être du collaborateur.
Se dégager du temps pour soi.
Le développement de l’e-Learning : méthode d’apprentissage qui repose sur la mise à disposition de contenus pédagogiques via un support électronique. La particularité des e-Learning est de rendre le contenu pédagogique accessible à tout moment, quel que soit l’endroit où se trouve l’apprenant.
De telles formations permettent donc de répondre aux impératifs actuels de disposer de la formation à la demande.
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