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Bienvenue dans notre 2ème article concernant notre webinaire du 12 avril !

Si vous n’avez pas lu le premier article concernant les constats actuels et les influences qui impactent les entreprises aujourd’hui, nous invitons à suivre le lien ci-dessous :

Article 1 : Votre entreprise a un potentiel caché !

Dans l’article d’aujourd’hui, nous vous proposons d’en apprendre davantage sur la méthode de Parangone.

Celle-ci apporte un certain nombre de garanties :

1. Intégrer les incontournables de la RSE et les référentiels les plus robustes,

2. Embarquer tous les échelons de l’entreprise de façon transversale,

3. Intégrer les solutions techniques et digitales les plus innovantes, pour optimiser le suivi de votre impact. Parangone est en partenariat avec le @GlobalClimateInitiative pour les bilans carbones, @Digital4better et @Greenmetrics pour le calcul de l’impact environnemental ou encore la plateforme @Zei qui permet de piloter la performance de vos indicateurs.

4. Séquencer le travail dans le temps, car nous le savons la RSE demande un investissement que ce soit en terme financier ou en terme de ressources humaines. Travailler par séquence permet de lisser l’effort à fournir par l’entreprise. Pour ensuite, construire et orchestrer l’adhésion progressive des sphères d’influence et de décision autour du coeur de l’entreprise.

@AmélieFoulon a rejoint Parangone il y a 2 ans avec la volonté de renforcer l’offre d’accompagnement suite à une enquête, qu’elle a réalisé auprès de plusieurs entreprises sur les zones de risques.

 

Approche par les risques

 

En discutant avec de nombreuses entreprises, le constat est que sans une méthode structurante, la RSE peut être perçue comme une contrainte et/ou mener à une impasse. 

Risque 1 :

Bâtir une démarche RSE perçue comme étant « hors-sol », déconnectée de l’activité de l’entreprise et de l’expérience vécue par les parties prenantes, entraine un effet contre-productif. C’est-à-dire, un manque d’adhésion voire un rejet des individus qui ne comprennent pas la démarche.

Risque 2 :

Faire que la stratégie RSE reste un sujet d’experts. L’entreprise développe des actions, mais elle n’intègre pas les managers, ni les collaborateurs. Les équipes ne connaissant pas ce que l’entreprise met en place, ils ne peuvent pas relayer l’information et l’entreprise passe à coté d’un atout, celui des messages portés par le siège et le vécu des collaborateurs.

Risque 3 :

Une communication descendante et/ou prématurée sans avoir bâti tous les éléments de preuves, suscite le doute et s’expose au « greenwashing ». L’entreprise se discrédite et ce pour potentiellement longtemps. À la suite, récupérer une belle image, s’avère être complexe et difficile.

Risque 4 :

En lien avec les 3 risques précédents, sans une méthode bien construite, l’entreprise s’expose à une déperdition de moyens financiers et humains. Ne se donnant pas les moyens d’aller chercher tout le potentiel d’effets positifs bénéfiques pour l’entreprise.

 

Approche par les bénéfices

Il est essentiel pour @Parangone d’assurer la pérennité de la démarche. Nous identifions 4 leviers à activer.

Leviers 1 :

Avoir un impact sur le business grâce à l’effet positif. Une entreprise responsable est plus attractive pour ses clients et fait la différence par rapport à ses compétiteurs. Mais pour cela, la force de vente doit être capable de mettre en avant les arguments et d’en faire des atouts différenciants.

Leviers 2 :

La RSE est un fort levier de fierté et de motivation pour les collaborateurs. S’ils ont la possibilité de la comprendre, de se l’approprier et d’y contribuer, alors cela génère un réel enthousiasme communicatif.

Levier 3 :

La stratégie RSE peut devenir le socle du sentiment d’appartenance et contribuer a générer de la transversalité entre les métiers et entre les filiales et créer une dynamique collective au sein de l’entreprise.

Levier 4 :

Une entreprise, qui dans son modèle d’affaire, prend en considération ses parties prenantes et cherche à en avoir de nouveaux, va développer une stratégie RSE avec un fort levier d’innovation et d’opportunité à tous les niveaux. Managériale, d’organisation, de méthode de production et d’offre de biens et de services.

 

Les 3 effets de notre méthode 

 

Arrive ici, notre méthode à 3 effets qui va placer les collaborateurs au coeur de la démarche et générer un effet d’entraînement, suffisamment puissant pour construire un véritable leadership sociétal. 

« Le leadership sociétal, est la capacité d’incarner l’engagement sociétal au plus haut niveau en relation avec le coeur de business de l’entreprise, là où l’engagement de l’entreprise est le plus utile et sans se disperser en actions alibis. » @Vanessa Logerais Fondatrice-dirigeante de Parangone.

???? L’effet Révélateur 

Nous faisons le pari qu’il existe dans chaque entreprise des « pépites », c’est-à-dire un potentiel. Cela peut-être son histoire, ses valeurs, ses initiatives mais aussi la sensibilité des femmes et des hommes qui la compose. 

Le collaborateur doit se dire :

«On m’écoute et on me demande mon avis ».

Concrètement dans cette phase nous allons chercher la parole des collaborateurs et des parties prenantes pour construire la matrice de matérialité et établir le modèle d’affaire. Ce qui permettra de poser l’équation entre création de valeur économique et création de valeur sociétale à partir de la réalité de l’entreprise !

???? L’effet Convergence

Nous cherchons toutes les sphères d’influence de l’entreprise ; la direction, les managers, les fournisseurs, les clients, les collaborateurs, toutes les parties prenantes associées aux actions mise en place. 

Le collaborateur doit se dire :

«  J’ai compris et on me donne les moyens d’y contribuer »

Concrètement, il s’agit de construire un réseau d’ambassadeurs. Mettre en place des ateliers de formations participatifs, des modules e-learning incarnés par des référents de l’entreprise, concevoir des outils de présentation et des outils d’organisation et rendre possible la contribution de chacun.

???? L’effet Rayonnement

Dans cette étape, il s’agit de travailler à la fois le reporting et la communication en veillant à ce que chaque engagements soient incarnés par la parole des collaborateurs de l’entreprise, mesurés par des outils et des process appropriés. 

Le collaborateur doit se dire : 

« Je suis fier de ce qui se passe dans mon entreprise et fier de le raconter à mes clients, mes amis, ma famille »

Concrètement, c’est uniquement à cette étape que nous parlons de communication. Cela permet d’apporter une autre vision du reporting, incarné et qui donne du sens aux KPI (key performance indicator). Il n’y a pas de raison objective pour cantonner la DPEF ou l’URD aux investisseurs sous une forme austère. On peut en faire un support vivant et attractif dans le fond et la forme !

 

Est-ce que cette méthode fonctionne ? Vous le constaterez dans les deux prochains articles dédiés aux témoignages de @Jonathan Leyva du Groupe Konica Minolta et @Blaise Estrade du Groupe Pigment.

Merci d’avoir lu jusqu’à la fin :D ! Et bonne semaine à tous et à toutes ! 

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